Tokio Hotel exposé dans un musée de Berlin.

Expo TH







Tokio Hotel will be in a show called "Freeway Balconies"




Tokio Hotel will be in a show called "Freeway Balconies"
by Collier Schorr in Deutsche Guggenheim Berlin. (Museum)



Freeway
Balconies ranges in mediums from photography to sculpture and
installation to video art. The exhibition explores the performative
impulse so operative in today's innovative forms while playing off a
pop-infused, contemporary American vernacular. In doing so, Schorr
acknowledges a select group of elders that includes Bruce Nauman,
Yvonne Rainer, and Adrian Piper. Their deployment of performance and
specifically the location of art on the site of the artist's body can
be observed in the works of a younger generation of artists represented
by Francesca Woodman, Ryan Trecartin, and Aki Sasamoto. Sara Gilbert's
intimate photographs of her friend and actor Leonardo DiCaprio taken at
an earlier moment of superstardom are joined to the high drama of
Rachel Rabhan's anonymous students and Elaine Stocki's curiously
choreographed strangers, with Leigh Ledare's poignant images of his
almost-famous mother hovering somewhere in between. Schorr shares the pop-punk band Tokio Hotel with Raymond Pettibon and actress Brooke Shields with Richard Prince.
Shinique Smith's fan mail to actor Johnny Depp, an attempt at closeness
with her object of admiration, finds an analogue in Karen Kilimnik's
improvised cosmetic self-improvements to resemble other stars, while
Matt Saunders's videos provide yet another take on idol worship. In
this arena, Rashawn Griffin's lumbering garbage-bag bear stands a
chance against David Altmejd's monumental giant. Sharon Hayes and Adam
Pendleton invoke the spirit of 1960s activism and rock 'n' roll,
complicated by cultural amnesia as appropriations out of time.


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Tokio Hotel sera dans une exposition appelé « Freeway Balconies », par Collier Schorr dans le musée Deutsche Guggenheim Berlin.

L’exposition Freeway Balconies s’étend à des moyens tels que la photographie, la sculpture et l’installation d’art vidéo. L’exposition explore l’impulsion performative si opérationnelle dans les formes initiatives d’aujourd’hui, en jouant de « pop-infused » ( pas compris désolée ), propre à l’Amérique contemporaine. De cette manière, Schorr reconnaît un groupe d’élites qui inclut Bruce Nauman, Yvonne Rainer et Adrian Piper.
Leur performance et spécifiquement l’emplacement de l’art sur le corps de l'artiste peut être observé dans les travaux d'une jeune génération d'artistes représentés par Francesca Woodman, Ryan Trecartin et Aki Sasamoto.
Les photographies intimes de Sara Gilbert de son ami et acteur Leonardo DiCaprio pris à un moment précédent de la supercélébrité sont rejointes au haut drame des étudiants anonymes de Rachel Rabhan ( théâtre ) et aux mise en scène curieuses sur les étrangers d’Elaine Stocki, avec les images intenses de Leigh Ledare de sa mère presque célèbre planant quelque part au milieu. Schorr partage le groupe de punk pop Tokio Hotel avec Raymond Pettibon et l'actrice Brooke Shields avec Richard Prince. Shinique Smith qui a envoyé un mail en tant que fan à l’acteur Johnny Depp, une tentative pour sentir la proximité avec son objet d’admiration, trouve un analogue chez Karen Kilimnik, qui produit des cosmétiques improvisées pour ressembler à d’autres stars.
Tandis que les vidéos de Saunders Mat fournissent encore un autre culte que prend l'adoration d'idole. Dans cette arène, Rashawn Griffin, garbage-bag bear ( rien compris. Ca parle de déchet :shock : ) supporte une chance contre le géant monumental de David Altmejd. Sharon Hayes et Adam Pendleton invoquent l'esprit d'activisme des années 1960 et le rock 'n' roll, compliqué par l'amnésie culturelle comme des appropriations en dehors du temps.